Voici ce que m’a dit Aurélie :

« Ma meilleure amie dit que je me plains trop souvent, que je me déresponsabilise de ce qui m’arrive. Je la fatigue et je lui plombe le moral. Alors quand je parle, elle ne m’écoute plus vraiment … »

Voici ce que j’ai proposé à Aurélie :

1/ Changez de lunettes

Les études le montrent, les personnes positives sont plus heureuses, vivent mieux et plus longtemps que les personnes négatives ! Elles font face comme tout le monde à des problèmes, des douleurs dans leur vie mais elles y réagissent différemment.

Elles ne se lamentent pas sur leur sort. Lorsque que quelque chose de difficile à gérer leur arrive, elles savent qu’elles ne sont pas responsables de ce qui leur arrive mais de la façon dont elles y réagissent. Elles prennent le pouvoir en faisant l’inventaire des solutions possibles et agissent plutôt que de se résigner et subir.

Elles voient ce qui leur arrive comme quelque chose qui les aidera à apprendre, à évoluer. Penser action plutôt que résignation et plainte permet de développer son potentiel, d’avancer pas à pas, avec plus ou moins de succès certes, mais toujours en apprenant de nouvelles choses. Plus vous vous obligerez à penser positif, et plus cela deviendra un automatisme. Petit à petit, vous verrez arriver de nouvelles propositions et situations. Votre attitude positive vous rendre rayonnante et donnera envie de vous connaitre !

2/ Fréquentez les bonnes personnes

Développer son optimisme permet de faire le tri dans sa vie matérielle et relationnelle.

Il est donc important d’éviter le contact des personnes toxiques qui ressassent leurs problèmes sans avancer, critiquent leur patron ou leurs collègues ou rêvent de changer de vie en terminant leur phrases par « oui mais bon, je peux pas », et d’entretenir les relations avec ceux qui tirent vers le haut et voient le vase à moitié plein.

L’impact de ce qui nous arrive dépend de la façon dont nous réagissons à une situation. Notre réaction ne dépend quasiment que de nous, ne l’oublions pas.

Les coups durs inévitables nous apprennent à nous relever, à puiser dans nos ressources, à savoir qui nous sommes.

Le pessimisme n’apporte rien de positif dans la vie ;-). Si vous fréquentez trop de personnes négatives, elles vous entraineront dans la vision du vase à moitié vide. Mais la bonne nouvelle c’est que l’optimisme est communicatif ! Alors si vous fréquentez de plus en plus de personnes positives, vous le serez bientôt à 100 % vous aussi.

2 questions à vous poser  :

  • Quelles sont les personnes négatives que vous souhaitez éviter ?
  • Quelles sont les personnes positives avec lesquelles vous souhaitez passer plus de temps ?

3/ Notez vos kifs

Chaque jour, noter sur un carnet trois choses positives qui vous sont arrivées dans la journée, des choses simples, souvent fugaces : un compliment sur votre tenue, une marque de confiance, un je t’aime de votre enfant, un sourire échangé avec une vielle dame à la caisse du magasin, un coup de fil à votre meilleure amie, une chanson, un bon film…

Placer votre attention sur ces moments chouettes, subtils, vous aidera à vous sentir mieux dans vos baskets ! Les optimistes sont plus épanouis car conscients de la chance qu’ils ont sans être pour autant de doux naïfs, comme on l’entend souvent de la part des pessimistes. Ils savent où placer leur attention pour ne pas se laisser envahir par la morosité ambiante. S’entraîner chaque jour avec la prise de conscience de 3 kifs aide à cultiver l’optimisme et à le communiquer aux autres.

Retrouvez mon guide pratique anti burn out « le jour où j’ai coupé l’oreille du doudou de mon enfant »

 

« La différence entre celle que vous êtes et celle que vous voudriez être, c’est ce que vous faites »

 

Qui suis-je ?

Je suis Sandrine Joineau, créatrice de « au bonheur des Working Mums ». Comme vous, je n’arrivais pas à concilier ma vie de maman, de femme active et de femme. Trop de stress à cause de ma pression à être parfaite sur tous les fronts. Trop de tension avec ma fille. Trop d’insatisfaction, de frustration. L’exemple de Working Mum que je donnais à ma fille : stress, manque de confiance en moi, phrases négatives sur moi, cris, punitions, menaces… n’était pas celui que j’avais imaginé.

Un jour, à bout de nerf, j’ai coupé l’oreille de son doudou. J’ai pris conscience que je devais changer mon comportement. J’ai découvert le développement personnel, la parentalité positive et j’ai développé ma méthode pour plus de sérénité et de satisfaction. J’ai compris que je me prenais pour Wonder Woman, que je faisais passer les besoins des autres avant les miens et qu’ inconsciemment j’attendais leur reconnaissance. Insatisfaite et stressée, je passais à côté du bonheur d’être maman.

Je me suis formée au coaching et aujourd’hui, parce que je l’ai vécu et que j’ai changé, j’aide les Working Mums à concilier leur vie de maman et de femme active sans oublier leur vie de femme, grâce à une méthode d’accompagnement sur-mesure et ludique qui s’appuie sur la psychologie positive et la parentalité positive.

Un premier coup de pouce, mon quizz gratuit

2 min pour savoir si vous vous prenez pour Wonder Woman ou pas...

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